Étiquette : Corrélationnisme
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Gilbert Durand : science et expérience de l’imagination symbolique, par Jean-Jacques Wunenburger
“L’affect suscité par l’image, sa coloration, sa longueur d’onde servent de fond à la forme symbolique sur laquelle elle se découpe. L’image n’est pas distanciée dans une sorte de neutralité objective, mais immédiatement corrélée avec la tonalité du sujet.”
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L’inifiniment petit, avec Alain Aspect et Michel Bitbol
Duel à fleurets mouchetés entre le physicien Alain Aspect et le philosophe Michel Bitbol. Duel entre deux approches, l’une représentationnaliste, l’autre corrélationniste. Point d’orgue de ce duel à la toute fin (41’30”) : tandis que le philosophe évoque la limite infranchissable de la longueur de Planck, le physicien préfère s’imaginer pouvoir un jour la contourner.…
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Au commencement était la relation. Mais après?, par la Revue Mauss
“Au commencement était le Verbe, nous dit-on. Ou bien l’Action. Et si, pour les sciences sociales, voire pour les sciences dites « dures », au commencement était la Relation ? Ne faut-il pas alors, contrairement à nos évidences premières, renoncer à l’ambition d’accéder aux choses et aux êtres « dans l’absolu », indépendamment des interactions…
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Interrelationnisme. Horreur ou merveille., par Carpenter Edmund
“L’horreur est encore corrélationniste. L’horreur mesure l’écart entre notre représentation et l’irreprésentable qui la déchire, elle suppose donc encore le cadre subjectif que son objet excède. L’horreur n’est pas encore proprement réaliste, elle n’est qu’un moment négatif provisoire, encore anthropomorphique, dans l’essor du réalisme. L’horreur face à « l’impensable, l’indicible chose » est l’ultime défense…
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Dialogue avec Bernard d’Espagnat Sur le “Traité de physique et de philosophie”, par Michel Bitbol
“Ce texte est celui de mon intervention à un colloque organisé par Léna Soler autour du “Traité de physique et de philosophie” de Bernard d’Espagnat (Fayard, 2002). Il y est question du statut de la réalité, de notre position en elle ou face à elle, de son caractère ineffable ou arraisonnable par une science comme…
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À propos du point aveugle de la science, par Michel Bitbol
“La science présente un gigantesque point aveugle en son cœur, et, comme tout point aveugle, il n’est pas reconnu par le sujet aveuglé. Pourtant, même si d’ordinaire on ne le remarque pas, ce point aveugle a des effets importants sur la pratique et l’interprétation de la science. Je vais expliquer ici comment définir le point…
